chroniques littéraires

Gardiens des Cités Perdues, tome 8 : Héritages

Bonjour tout le monde. J’espère que vous allez tous bien et que vous continuez à prendre bien soin de vous malgré le déconfinement, qui n’en est pas vraiment un, et que vous arrivez encore à comprendre les injonctions de nos gouvernants. Pour ma part, avec ce qui a été annoncé cette semaine sur l’école, j’ai arrêté de les écouter. Ce n’est pas comme si je les écoutais beaucoup de toute façon depuis la crise du Covid, ou même depuis leur élection. Mais là, je crois que c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Bref, l’important, c’est que prendre bien soin de vous et de faire attention.

En parlant de faire attention et de se préserver, je reviens aujourd’hui vers vous, sur le blog, afin de vous présenter mon avis sur le dernier tome de la saga que j’adore, et que j’ai découverte l’année dernière, qui est donc le tome 8 des Gardiens des Cités Perdues. Et oui, il s’agit du dernier tome publié, celui étant sorti cette année n’étant qu’un tome intermédiaire. Le prochain tome, le 9, ne sortira quand à lui qu’en 2021, si tout va bien. Je suis déjà triste de me dire que je vais devoir attendre au moins un an avant de me plonger à nouveau dans cette saga que j’adore. Heureusement, il me reste encore les tomes intermédiaires. Ce fameux tome 8 est toujours écrit par Shannon Messenger, il est sorti en France en novembre 2019 aux éditions Lumen et voici son résumé :

Sophie n’en peut plus de vivre dans le mensonge et l’illusion : cette fois, il lui faut des réponses. Mais la vérité n’est pas toujours bonne à entendre, surtout quand elle apporte son lot de nouvelles responsabilités… Et que la jeune fille n’est pas la seule concernée. Car le passé trouble de certains de ses amis n’a rien d’un hasard. Beaucoup sont porteurs d’un destin qui les dépasse, qui se joue d’eux et de leurs principes.

Commence alors un jeu de pistes dangereux, où la fidélité de chacun se voit remise en cause. Et si les indices s’accumulent, le doute, lui, s’insinue dans le petit groupe à mesure que la frontière entre le bien et le mal se trouble. Une question occupe désormais tous les esprits : qui est véritablement digne de confiance ?

À force de creuser pour découvrir ce que cachent les mystères qui l’entourent, Sophie Foster se retrouve dans ce huitième tome de Gardiens des Cités perdues face à elle-même et à ses illusions perdues. L’heure de vérité a sonné. Il ne reste plus qu’à savoir si notre héroïne et ses amis sont prêts à l’affronter…

Dans ce nouvel épisode, nous retrouvons Sophie et tous ses amis face à une nouvelle menace. Cette fois, les Invisibles ont perdu des membres de leur organisation, mais ils ont surtout enlevés Tam. Privés de leur ami, Sophie et les siens vont devoir trouver un moyen de le sortir de cette mauvaise passe. Tout en restant vivants. Et en protégeant les siens. Tout en réclamant des réponses qui se font attendre, surtout en ce qui concerne leur héritage, aussi bien le sien que celui de Keefe, qui pèse lourd sur ses épaules. Aidés du Conseil et du Cygne Noir, Sophie espère donc pouvoir enfin mettre un terme au jeu des Invisibles, même si pour cela, elle doit encore donner de sa personne et passer près de la mort.

Alors, comme vous le savez, Sophie est une héroïne que j’aime beaucoup. Elle est en effet une jeune fille loyale, courageuse, qui n’hésite pas à prendre des risques pour aider ses amis. Elle le montre d’ailleurs une nouvelle fois dans cet épisode, où elle se retrouve obligée de faire de nombreuses promesses à tous ses proches , mais sans être certaine qu’elle pourra les tenir. Or, lorsqu’elle se rend compte de ses erreurs, Sophie culpabilise, et s’en veut de ne pas réussir à être aussi loyale qu’elle l’aurait aimé. J‘aime beaucoup ce trait de caractère chez elle, ce qui fait qu’elle a envie de protéger les autres, et qu’elle est prête à se sacrifier pour eux. Elle est vraiment loyale et c’est une amie sur laquelle on peut compter, même si certaines promesses ne devraient pas être faites car elles sont trop difficiles à tenir. On peut toutefois dire que Sophie essaye vraiment de s’y tenir, d’y mettre du sien pour respecter sa parole. C’est quelqu’un de moral, qui s’engage pleinement dans ce qu’elle fait. Ainsi, elle s’ne veut vraiment d’avoir dû laisser partir Tam, et de ne pas être capable de le sauver des Invisibles. Et elle cherche vraiment toutes les solutions possibles pour le sauver. Ce que j’ai apprécié dans ce tome, c’est qu’elle continue de grandir, de mûrir, et qu’elle voit davantage la complexité des autres, de ceux qui l’entourent. Ainsi, on seulement elle doute, et elle n’a pas tout à fait confiance en Tam et le fait qu’il va revenir avec eux, mais elle se montre surtout davantage rebelle. En effet, elle refuse une nouvelle fois de jouer les cobayes au Cygne Noir, chose qu’elle ne faisait plus depuis quelques tomes. On s’aperçoit donc qu’elle en a assez de ne pas avoir de réponses à ses questions, même si certains événements sont enfin élucidés, ces derniers sont passés au second plan. C’est intéressant de la voir ainsi refuser qu’on joue encore avec elle. J’avoue que j’aurais souhaité qu’elle aille jusqu’au bout, mais on ne peut pas lui en vouloir de finir par céder, puisque ses amis ont besoin d’elle. C’est aussi ce qui fait la force de caractère de Sophie, cette volonté d’aider les autres, qui fait qu’elle a de l’empathie, qu’elle n’est pas égoïste, et c’est pour cela qu’on aime son personnage, qu’on s’attache à elle. En parlant d’attachement, j’ai apprécié le fait qu’elle veille enfin en savoir plus sur ses origines, et qu’elle cherche ses parents biologiques. Cela permet d’avoir tout un tas de questionnement et de remise en question de sa part, et j’ai trouvé non seulement cela intéressant, mais aussi plaisant à lire, car l’on sent qu’elle grandie, et qu’elle met aussi ses a priori de côté. On sent donc une évolution constante en elle qui est agréable, qui montre bien que c’est un personnage qui ne se repose pas sur ses lauriers, qui est capable de continuer à avancer tout en sachant qu’elle n’est pas la meilleure, qu’elle a un rôle qui pèse lourd sur ses épaules d’adolescente. Et plus elle grandie, et plus un côté sombre se développe chez elle, qui est aussi intéressant à voir évoluer, car elle n’est plus la petite fille craintive qu’elle a pu être, elle devient même une jeune fille puissante qui ne fait pas que se défendre, mais qui attaque aussi. Elle rend désormais les devants de ses ennemis, n’hésitant plus à les blesser. Ce changement qui s’opère en elle se retrouve par ailleurs dans ses histoires de cœur, qui montre que rien n’est vraiment tranché, définitif, et que les doutes ont parfois du bon.

– On va vraiment le faire. Ca m’a frappée, d’un seul coup : ça y est, on part à la recherche de mes parents biologiques.

– C’est bien ce que tu souhaites, non ?

Sophie fit oui de la tête.

Avant de la secouer.

– Non. J’ai besoin de découvrir leur identité ! Mais si nos efforts se soldent par un échec, eh bien, je me contenterai de prétendre que ces gens n’existent pas. La seule idée de les rencontrer un jour me rend malade.

– Oui, je m’en suis douté quand tu as failli t’évanouir. Mon coeur mettra bien une semaine à s’en remettre. Mais ne t’excuse pas, s’empressa-t-il d’ajouter, lui coupant l’herbe sous le pied. Tu as le droit de paniquer. C’est une énorme révélation.

– Oui, murmura la jeune fille, soulagée de voir son ami si compréhensif. On part en quête de tordus qui ont accepté de mettre leur ADN à contribution pour transformer leur enfant en une erreur de la nature…

– Tu n’es pas une erreur de la nature. Tu es spéciale. Ca n’a rien à voir.

Justement, le fait d’évoquer les amours de Sophie me permettent d’enchaîner sur les différents personnages principaux que l’on croise tout au long du roman. Alors, je persiste et je signe, mais je déteste réellement le personnage de Fitz. Je ne comprend pas ce que Sophie lui trouve. Pour moi, c’est un petit-copain toxique qu’elle doit absolument plaquer. j’ai d’ailleurs eu de la pitié pour elle car elle ne se rend pas compte à quel point Fitz la manipule et joue avec ses sentiments. Certes, je ne dis pas qu’il ne l’aime pas, et le pire, c’est justement qu’il l’aime réellement, à la folie comme on dit, mais il n’arrive pas à lui laisser l’espace nécessaire, à évoluer avec elle, ni même écouter ses envies. En fait, Sophie est comme une poupée entre ses mains, il lui dicte ce qu’elle doit faire, et cela me révulse et me donne envie de le frapper. Et tout le monde trouve cela mignon, et qu’ils forment un beau couple. Heureusement, Keefe et Ro viennent mettre le bazar là-dedans, et permettent à Sophie de se poser les bonnes questions. Ainsi, c’est grâce à eux qu’elle est en mesure de s’interroger sur la relation un peu étrange qu’elle entretient avec Fitz. Et parler de Keefe me fait dire que j’aime beaucoup son personnage, et tout ce qui lui arrive, même s’il n’est vraiment pas gâter. Plus l’histoire avance, et plus on se rend compte qu’il a vraiment été maltraité par ses parents, et qu’il en souffre. Ce qui est intéressant avec lui, c’est que malgré le fait que sa mère soit une détestable personne, il croit encore en elle, il essaye de voir les choses bonnes qu’elle a pu faire, et il s’avère qu’il est incapable de lui faire du mal. J’aime donc bien cette dualité qui se joue en lui, le fait qu’il haï sa mère, mais qu’il l’aime aussi parce qu’elle est sa mère. En ce qui concerne les autres personnages secondaires, je commence malheureusement à trouver qu’il y en a beaucoup, et j’avoue avoir été un peu perdue pour certains d’entre eux, ne sachant plus qui étaient qui, surtout que nous avons des nouveaux venus. Toutefois, cela finit par s’arranger pendant la lecture. Une liste des personnages seraient néanmoins plaisante dans les prochains titres. Sinon, je suis toujours aussi fan de Ro, la princesse ogresse, et du lien qu’elle avec Keefe. C’est intéressant de voir comment elle parvient à toujours le percer à jour, et surtout, à comprendre la relation qu’il a avec Sophie. J’ai adoré les sous-entendus qu’elle n’arrête pas de faire, mais auxquels Sophie ne comprend rien, au grand désespoir de Ro d’ailleurs. Mine de rien, malgré son air dangereux, Ro est un personnage plaisant à suivre, et l’on s’attache à elle. J’ai aussi être contente qu’on en sache enfin un peu plus sur Nubiti, la naie qui suit Sophie pour sa surveillance. Même si cette dernière n’est pas très présente, c’est sympa d’avoir un autre point de ve sur le monde des elfes.

Fitz darda sur elle un regard à raser des forêts entières.

– Si tu tiens tant à le savoir, je pensais qu’un baiser sincère suffirait à clarifier ma position sur le sujet.

– Vraiment ? (Ro se tapota le menton d’une griffe peinturlurée). En effet, c’est une interprétation possible. Une autre étant que tu es juste d’humeur pour une partie de bécotage en règle. Mais loin de moi l’idée de te juger. Les baisers, c’est le pied ! Reste que si tu tiens tant à ta ravissante Lady Foster, tu ferais bien de lui assurer que toute l’angoisse qu’elle s’est coltinée ces derniers jours à propos de son statut matrimonial ne t’affecte pas. A supposer que ce soit le cas, bien entendu.

– Bien sûr que c’est le cas !

Fitz se tourna alors vers Sophie pour le lui confirmer.

– Ca ne me pose aucun problème.

– Vraiment ? murmura-t-elle.

Elle avait l’impression de pouvoir enfin respirer librement.

Il tendit la main pour lui caler une mèche derrière l’oreille.

– Oui, je t’assure.

Les yeux clos, Sophie laissa cette réponse toute simple dissiper les doutes et les inquiétudes qu’elle nourrissait depuis sa sotie du bureau des Entremetteurs.

Elle se sentait le cœur plus léger, plus rapide. L’esprit plus clair qu’il ne l’avait été depuis des jours.

Jusqu’au moment où Fitz ajouta.

– On va retrouver tes parents biologiques et régler ce bazar, je te le promets.

L’ogresse fit la moue.

– Ooooooooooh, tu étais pourtant si bien parti !

En parlant justement de Nubiti, j’en arrive maintenant au nœud de l’histoire dans ce tome-ci. Après avoir découvert l’univers des ogres, celui des trolls et celui des gnomes, on en arrive enfin à se concentrer sur les nains. J’ai apprécié cette découverte, car cela nous permet d’avoir un nouveau point de vue sur le monde des elfes, un point de vue qui est tout aussi critique que celui des autres peuples. Je trouve cela intéressant car cela nous permet de nous rendre compte à quel point le monde de Sophie n’est pas uni, et à quel point la menace plane dans l’ombre, que personne n’est à l’abri. C’est aussi intéressant car l’on voit jusqu’où peuvent aller les Invisibles, et les querelles internes au sein des peuples. On savait déjà que certains nains avaient rejoint les Invisibles, mais l’on ignorait pourquoi. Désormais, des réponses nous apparaissent, et l’on se rend bien compte à quel point le monde se complexifie. Ce que j’ai aimé, c’est le voyage de Sophie dans la cité des nains, et toute la sécurité qui est mise en place dans cette cité, ce qui montre bien que chaque peuple a sa spécificité. Cela permet alors d’avoir toute une réflexion sur la sécurité, mais surtout sur l’ombre et la lumière qui s’affronte éternellement. J’ai ainsi apprécié la manière dont le peuple des nains utilisent l’ombre et la lumière, mais aussi les matériaux des étoiles, en contradiction de ce fait avec ce qu’en fait les elfes. Et la personnalité du roi Enki est assez fascinante, quoique légèrement inquiétante aussi, ce qui rajoute du cachet à ce peuple que l’on voit enfin pleinement dans ce tome 8. J’ai aussi adoré que l’on ensache plus sur les pouvoirs des elfes, notamment ceux de Sophie et de Keefe, dans ce tome-ci. En effet, l’histoire tourne autour de la notion d’héritages, au pluriel, si bien qu’il est temps pour nos héros de comprendre ce que cela signifie, et implique surtout pour eux. C’est donc le moment de parler davantage encore de génétique, et de contrôle sur ses pouvoirs, et j’ai apprécié que nos ayons d’autres points de vues que les leurs, notamment ceux d’adultes plus expérimenter, et moins mis en valeurs dans d’autres tomes, pour mieux appréhender cela.

– Vous allez vous retrouver aveugles dans moins d’une minute, avertit la voix de Nubiti, soudain très proche. Le premier : nul besoin de vous retenir aux murs pour garder l’équilibre, le chemin est totalement plat. Faites confiance à vos pieds, même ceux d’entre vous qui se jugent maladroits. Le deuxième : laissez-vous guider par ma voix. Vous m’entendrez toujours, même si votre esprit s’égare. Et enfin, le dernier : plus vous vous attarderez, pire ce sera. Si vous ne deviez garder à l’esprit qu’une seule idée, c’est celle-là : continuez d’aller de l’avant, en toute circonstance.

– De mieux en mieux, grogna Stina.

– Si ce que je vous raconte ne vous plaît pas, je vous conseille de vous hâter, lui répondit la naine.

Sophie leur fit presser à tous le pas.

– Combien de temps nous reste-t-il avant l’arrivée des hallucinations ? demanda Dex.

– Ca dépend, répondit Bronte. J’en ai vu certains perdre le sens des réalités presque aussitôt. D’autres gardent la tête froide une partie d chemin.

– En moyenne, on tient à peu près dix minutes à partir du moment où on entre dans le noir complet, ajouta Grady. Ce qui ne devrait plus tarder.

L’avertissement était inutile. Sophie n’eut aucun mal à remarquer l’instant précis où les derniers faisceaux de lumière disparurent.

Les ombres en mouvement se firent dès lors plus noires et plus épaisses.

Absorbant absolument tout.

Haut et bas. Gauche et droite. Toutes ces notion n’avaient plus aucun sens.

Sophie ne sentait plus l’air emplri ses poumons ni le sol sous ses pieds.

En ce qui concerne l’écriture du roman, même si le roman dépasse encore une fois les 700 pages, on ne les voit pas passer. En effet, on est happé par le rythme soutenue de l’histoire, et par les multiples enquêtes qui sont menées de front tout au long du livre. Comme d’habitude, plusieurs événements ou de révélations ont lieu au cours de l’histoire, ce qui fait qu’on ne s’ennui pas un seul instant. Je regrette toutefois une certaine facilité dans le récit, qui est la nouvelle réinitialisation des pouvoirs de Sophie. C’est déjà la deuxième fois que cela arrive, et j’ai donc trouvé cela un peu redondant, même si je comprend parfaitement pourquoi elle est utilisée dans le roman. En tout cas, on sourit pas mal dans cet épisode, notamment grâce à Ro et à ses sous-entendus, ou avec Dex et les siens, à croire que personnes n’est dupe, et les occasions qu’ont les amis de Sophie de mettre les conseillers, ou autres personnes figurant sur la liste de Sophie, dans l’embarras suite à sa quête sur ses parents biologiques. J’ai aussi aimé les passages émouvant que l’on a dans le récit, avec les parents adoptifs de Sophie, ou ceux de Keefe, ou les moments où Sophie est seule avec ses amis. Il y a, à mon avis, beaucoup d’émotion dans ce nouvel épisode, beaucoup de moments émouvants, drôles, mais aussi de peur, ou de colère. C’est intéressant de lire un tel titre, car on passe vraiment par toutes els émotions possibles, et cela permet justement de ne pas s’ennuyer et de rester concentré, tendu, vers la fin de l’histoire, qui est une nouvelle fois frustrante.

En résumé, il y a aurait beaucoup à dire sur ce nouvel épisode car il s’y passe beaucoup de choses. Je me suis donc concentrée sur les plus importantes. Ainsi, j’ai apprécié l’évolution de Sophie et les doutes qui l’assaillent, le fait qu’elle assume davantage encore son statut de Colibri, et le fait qu’elle s’implique en tant que cheffe. Mais j’ai surtout été marquée par la quête de ses parents et tous les problèmes que cela amènent dans sa vie, tout comme les relations qu’elle entretient avec Fitz et Keefe. Je continue à dire que je suis de la Team Keefe, et que je déteste le personnage de Fitz, qui a tout pour moi du petit copain toxique, jaloux, et qu’ils devraient absolument rompre avant de se faire du mal. J’ai adoré la présence de Ro qui apporte beaucoup d’humour à la saga, je suis fan de son personnage, et j’ai apprécié le fait que l’on en sache enfin davantage sur les nains. Ce roman comporte quelques réponses, mais aussi de nombreuses nouvelles questions, et j’aime le fait qu’on ne s’ennuie pas dans l’histoire, qu’on ait toujours envie d’en savoir plus, que l’on soit poussé à en savoir plus. J’ai donc hâte d’avoir la suite, de la lire, et je ne peux donc que vous conseiller ce roman, ainsi que toute la saga, car c’est vraiment un univers qui mérite d’être découvert, qui mérite d’être mu, et pour moi, c’est une vraie saga coup de cœur.

Et vous ?

Quelles sont les sagas coup de cœur que vous avez découvertes cette année ?

Ou celles que vous recommander toujours ?

Qu’est-ce qui est important, selon vous, pour qu’une saga ne tourne pas en rond ?

Bon vendredi à tous 😀

2 réflexions au sujet de « Gardiens des Cités Perdues, tome 8 : Héritages »

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