Bonjour les amis. On se retrouve en ce vendredi ensoleillé pour parler des nouvelles sorties littéraires de cette semaine. Eh oui, comme tous les vendredis depuis 7 semaines, je vais vous parler de ma wish-liste, cette liste qui vous présente les nouveautés parmi toutes les sorties de la semaine qui me font envie. Cette liste n’évoque que les sorties de brochés, donc exclue les poches, et je n’y mets que les suites de livres que j’ai déjà lus.Voici ma liste, comprise entre le lundi 10 et le dimanche 16 avril :
Kidnappée, Cassie se retrouve en Grèce dans la demeure de la famille originelle de l’Olympe.
Elle y fait la rencontre de personnes attachées au passé de sa reine qui la troublent plus qu’elle ne l’aurait cru possible.
Des vacances officielles deviennent alors rapidement un cauchemar pour Cassie. Un cauchemar dont elle ne peut s’échapper.
Condamnée pour les actes de sa reine, elle est obligée de payer. Ce prix pourrait coûter plus cher que prévu.
Et si vos désirs étaient des ordres ? Dans ce cas, prenez garde à vos souhaits…
Souvenez-vous, j’ai chroniqué le premier tome de cette saga fantastique sur le blog, en lien avec la maison d’édition Anyway. J’avais dans l’ensemble apprécié le tome 1, j’aimerai donc savoir ce qui va arriver à Cassie dans cette suite, savoir où cela va la mener d’être la descendante de Pandore. Le roman est sorti le 12 avril.
Seconde Guerre mondiale. La passion interdite entre un officier allemand et un résistant français, qui repousseront sans cesse les limites pour survivre et combattre la barbarie.
À quatre-vingt-onze ans, Julien vit aux États-Unis entouré de sa grande famille. Une famille qui ne connaît rien de son passé. Ce jour-là, au crépuscule de sa vie, il se souvient pour eux…
En 1941, Julien a dix-neuf ans. Le domaine familial, en région bordelaise, est occupé par l’armée allemande. Idéaliste et courageux, le jeune homme se tourne vers la résistance, alors même que l’ennemi est sous son toit. Un ennemi qui peut avoir de nombreux visages… dont celui, saisissant, de Engel, soldat de la Werhmacht qui ne cautionne aucune des horreurs commises par son propre camp, et éveille en Julien des sentiments coupables. À l’heure trouble de l’un des plus grands génocides de l’histoire, au milieu de ces hommes et de ces femmes qui se soulèveront pour leur liberté, l’attirance qu’ils éprouveront l’un pour l’autre les mettra toujours plus en danger.
L’amour peut-il vraiment triompher de la guerre et des préjugés ?
En règle générale, j’évite les romans sur la Seconde Guerre Mondiale. J’ai en effet tendance à trouver que c’est rapidement répétitif, toujours les mêmes histoires. Et puis, je n’aime pas spécialement ce thème. J’ai du en faire une overdose au collège, lorsque j’ai beaucoup lu sur cette période. Mais ce roman m’interpelle, car je trouve le thème original, différent de ce qu’on peut lire habituellement. J’aime l’idée qu’on parle d’amour entre deux participants de chaque camps, et l’attrait pour ce roman est rajouté par le fait que cela soit deux hommes qui s’aiment. On parle enfin d’homosexualité pendant le Seconde Guerre Mondiale, et je trouve ça super intéressant. Ce roman me tente donc beaucoup. Et j’aime beaucoup la couverture, qui est très sympa et coloré pour un sujet compliqué. Il est sorti le 12 avril.
Dans un futur proche, l’humanité a trouvé le moyen de soigner toutes les maladies : les transférer aux criminels, dont la quasi-totalité vient des ghettos, maintenus au ban d’une société qui touche à la perfection.
C’est dans ce monde qu’est née Talia Hale. À 16 ans, elle est la fille chérie d’un politique qui se voit déjà Premier ministre d’Angleterre. Atteinte d’un simple rhume, au plus grand dégoût de son entourage, elle doit subir son premier transfert. Mais à l’hôpital, Talia sauve une petite fille d’une agression. Une petite fille qui vit seule avec son grand frère, Galien, dans les ghettos.
Grâce à Galien, Talia découvre l’envers du décor et l’horreur d’un système où seuls les plus riches ont le droit à la santé.
Pour changer une société où la frontière entre bien et mal est plus floue que jamais, Talia devra briser le cocon doré dans lequel elle a grandi et combattre tout ce en quoi elle a toujours cru… y compris son propre père.
Le monde parfait a un prix
La mode est aux dystopies. Et je dois avouer que j’aime beaucoup les dystopies, il y a toujours un certain côté philosophiques dedans qui me plait. Et ici, le thème, en dehors de la perfection qui est assez récurrent, c’est la maladie, la santé. C’est intéressant cette idée de vouloir se débarrasser des maladies en les injectant à d’autres. Rien que pour cette originalité, je suis tentée par cette histoire. Et j’en ai entendu pas mal de bien sur les réseaux sociaux depuis quelques semaines. Le livre a été publié le 13 avril.
« Il n’y avait dans ma mort aucune injustice. Je l’avais vue arriver jusqu’à moi avec une froide évidence. »
Rescapée d’un enlèvement quand elle était enfant, Clara, 30 ans, mène désormais à Paris une vie confortable avec son mari, Charles. Pourtant, lorsqu’il lui demande un enfant, elle décide de partir sans laisser de trace.
Homme d’affaires occupé, Charles loue les services de Seven Smith, un ancien Marine, afin de retrouver son épouse. Pour le soldat américain, que la fin de la guerre a laissé sans but, la quête de cette femme disparue est une occasion inespérée d’exister à nouveau.
À travers l’Europe, Clara et Seven vont partir à la recherche de vérités sur eux-mêmes qui altéreront pour toujours le sens de leurs vies.
Depuis le temps que vous suivez mon blog, vous vous êtes peut-être rendu compte que j’avais une certaine fascination pour les affaires de disparition d’enfant. Ceci est assez glauque, mais j’aime me demander comment on en arrive à faire autant de mal à autant de personne, pas seulement à l’enfant, mais aussi à sa famille. Or, j’aime aussi me demander comment, ceux qui s’en sortent, parviennent à reprendre une vie normale après une telle épreuve. Dans ce roman, ceci est évoqué. L’héroïne semble avoir repris le dessus sur sa vie, jusqu’à ce que tout vole en éclat. Je me demande donc quelles découvertes elle va faire, et jusqu’où cela va l’emmener. Ce roman m’interpelle donc. Il est paru le 13 avril.
Quand Shuhei, 17 ans, reçoit un mot de la fille qu’il aime en secret, il n’en croit pas ses yeux. Sans se faire trop d’espoir, il se rend au lieu de rendez-vous, une ruelle sordide finissant en cul-de-sac. Comme indiqué, il frappe à la dernière fenêtre… et c’est une voix masculine qui lui répond ! Shuhei s’enfuit, mais lorsque l’inconnu l’appelle par son nom, il se retourne, interloqué. L’homme connaît son identité, ainsi que toutes sortes de détails intimes sur sa vie. Et pour cause : c’est son moi de 20 ans qui se tient devant lui !
L’adolescent a du mal à y croire, face à cette antithèse de son idéal de jeunesse. Hirsute, mal rasé, l’air blasé, le Shuhei adulte habite une chambre sombre et sale… De toute évidence, il a raté sa vie. Ses rêves d’avenir se sont écroulés, et il a sombré dans le désespoir. C’était compter sans la découverte de cette fenêtre, qui change la donne : tricher aux examens, gagner au loto, tout est possible à présent ! Le Shuhei du futur n’a plus rien à perdre, il est prêt à tout pour réécrire son passé. La tentation est forte, mais jouer avec les rouages de la destinée a un prix…
Les voyages dans le temps sont toujours un thème sympa à suivre, parce qu’on ne sait jamais vraiment où ils vont nous mener, les différences avec le présent qu’ils peuvent entrainer. J’aime l’idée qu’un personnage du futur vienne voir son double du passé pour tout changer. Cela peut devenir assez compliqué, mais peut aussi promettre des scènes cocasses. Et la couverture est assez sympa. Etant un manga, le dessin a l’air agréable. Et pour le moment il n’y a que deux tomes de prévus, ce qui peut une série courte. Le manga est sorti le 13 avril.
Hyppolite Bartoli est fou de douleur. Le jour du mariage de sa fille, celle-ci est retrouvée brûlée vive alors que la robe qu’elle porte est restée intacte. N’ayant aucune confiance en la police, il fait appel à deux enquêteurs dont la spécialité est de résoudre les énigmes les plus étranges. Et très vite, le mystère et les morts s’empilent en variant les modalités : fusillade, cannibalisme, crise de folie inexpliquée et empoisonnement. De quoi alimenter les théories les plus folles et multiplier les suspects les plus intouchables de la bonne société. La solution de l’énigme se trouve-t-elle dans les hautes sphères du pouvoir… ou tout simplement sous le voile de la mariée ?
Avant même de lire le résumé, je me doutais que ce roman me plairait. Le titre donne envie et pose question. L’enquête semble passionnante, car nous sommes face à un vrai mystère. C’est agréable de se dire qu’on va sans doute être confronté à une grande question, à une affaire digne de Sherlock Holmes ou d’Hercule Poirot. Ce polar paraît le 14 avril.
Depuis l’enfance, Laurie a un don. Elle est capable de retrouver la trace d’une personne disparue à partir d’un objet qui lui appartient. Aujourd’hui, elle utilise sa faculté pour venir en aide à autrui en collaborant avec les forces de l’ordre.
Lors d’une soirée, elle effleure l’arme de service de son ami l’inspecteur Urbis. Traversée par une succession de visions qu’elle n’aurait jamais dû connaître, elle comprend que les secrets de celui-ci sont bien plus terrifiants que son don de clairvoyance…
Cette découverte va bouleverser leur vie.
Elle vient de glisser dans un engrenage mortel dont elle ne sortira peut-être pas indemne.
Ce roman m’interpelle car il mêle du fantastique avec un polar. Je me demande quelle vision la jeune femme a pu avoir, ce qui va la mettre en danger, etc. Je pense que l’histoire promet du suspens et je serais donc contente de me plonger dedans. Le roman paraît aujourd’hui.
Et vous ?
Quelle sortie avez-vous remarqué cette semaine ?
Quel roman vous fait envie ?
Bonne fin de semaine 🙂